"Tous les points G se ressemblent mais ils sont tous différents." C'est sous ce slogan que la pâtisserie Gastel a présenté sa nouvelle collection de gâteaux gourmands et coquins :  "le.G". Au choix, six parfums : Geisha (crème légère chocolat au lait, gelée de passion, coque de chocolat blanc, billes pétillantes chocolatées), Glamour (crème légère à la vanille bourbon, framboises fraîches, coque chocolat, billes pétillantes chocolatées), Gourmand (crème onctueuse au caramel, gelée de mangue, coque de chocolat blanc, billes pétillantes chocolatées.), Gigolo (crème fondante au chocolat noir, coque chocolat noir intense, billes pétillantes chocolatées), Gracieux (Crème fondante à la pistache, griottes fraîches, coque de chocolat blanc, billes pétillantes chocolatées), et Galant (Crème légère au cassis, myrtilles fraîches, coque chocolat, billes pétillantes chocolatées). "Il y a un point G pour tous les instants, petite faim du matin, dessert léger, goûter gourmand ou inavouable pulsion en pleine nuit" explique la pâtisserie. Maintenant, il ne vous reste qu'à goûter !

Une Autrichienne de 75 ans a vécu avec une tumeur de huit kilos dans l'estomac sans le savoir. Victime de douleurs à l'abdomen, elle s'est rendue à l'hôpital de Graz (Autriche) en pensant qu'elle avait des problèmes de digestion. Après avoir fait passer un scanner à la patiente, les médecins ont aperçu la présence de la tumeur bénigne qui pesait l'équivalent du poids d'un enfant de sept ans. "Nous n'avons jamais vu une tumeur si grande et si lourde" a expliqué le docteur Gerhard Wolf, lors d'une conférence de presse à l'hôpital de Graz. Il a fallu deux heures d'intervention sans complication pour retirer la tumeur géante du ventre de la patiente. Selon le praticien, la vieille dame se remet bien et pourra sortir dans les jours qui suivent.

Vidéo. Le cancer de l'estomac expliqué en images

Toutes les femmes peuvent sauter le pas de l'infidélité. Mais des points communs se dégagent quand même, comme le révèle le site de rencontres extra-conjugales Victoria Milan. Ainsi, après avoir observé ses membres féminins, il constate que l'infidèle  typique a 36 ans, dispose de qualifications universitaires (42%) et est généralement focalisée sur sa carrière. "Elle a une personnalité honnête, ouverte et romantique. Elle aime regarder des films, voyager et adore écouter de la musique" note également le site dans son communiqué.

Quelle ville compte le plus d'infidèles ?

Autre donnée de Victoria Milan : Toulouse, Paris et Lyon sont les villes recensant le plus de femmes infidèles dans le pays. A l'inverse, les femmes vivant à Lille, Montpellier et Nice seraient les moins susceptibles de commettre l'adultère.

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Vidéo. Comment faire face à l'infidélité de son partenaire

L'acide aristolochique, c'est le nom d'un composant contenu dans une plante chinoise qui vient d'être épinglé par les chercheurs de l'université de Louvain (Belgique). Ce composant aurait causé le développement de tumeurs dans les vessies de femmes ayant suivi un régime amaigrissant à base de cette plante. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont prélevé des tissus tumoraux chez les femmes contaminées.

 Un gène suppresseur de tumeur altéré par la plante

Après analyse, le groupe d'étude a observé une altération du gène TP53 suite à une exposition à l'acide aristolochique. Ce gène qui stoppe le développement de certaines tumeurs ne fonctionnait plus. Ce qui explique le développement de tumeurs urothéliales. Plusieurs cas de tumeurs liées à l'acide aristolochique ont été déclarés en Europe, aux Etats-Unis et en Asie. Dans leur étude, les chercheurs déplorent l'utilisation régulière de ce composant cancérigène dans la médecine traditionnelle chinoise.

En 2002, des experts du Circ ont publié une évaluation des risques cancérogènes pour l’homme liés à certaines plantes médicinales. Ils y ont classé toutes les plantes médicinales contenant des espèces du genre Aristolochia comme cancérogènes pour les humains.

Source : Régimes aux plantes chinoises : l'acide aristolochique cancérigène, ucLouvain.be , 3 septembre 2014 

Le cancer de la vessie expliqué en vidéo : 

Peut-être allez-vous devoir troquer votre bon vieux film d'action américain contre une comédie à l'eau de rose. D'après les chercheurs de l'université Cornell (Etats-Unis), regarder ce type de films ferait grossir. Ils ont fait cette observation en demandant à 94 étudiants de regarder la télévision pendant 20 minutes. Un tiers a visionné le thriller "The Island" de Michael Bay, un autre tiers a regardé le même film mais sans le son, et le dernier tiers a opté pour un talk-show animé. Pendant le visionnage, les scientifiques ont mis à leur disposition des friandises et des gâteaux. Ils ont ainsi pu comptabiliser les calories que chacun avait ingéré.

Leurs résultats montrent que les sujets ayant regardé "The Island" avec le son ont mangé environ 98% plus que ceux ayant vu le talk-show. Précisément, les premiers ont ingéré 354 calories, les seconds 215 (ceux ayant vu le film sans le son ont avalé 314 calories). Pourquoi un tel écart ? Certainement parce que le cerveau est tellement captivé par le film d'action que vous ne vous rendez pas compte de ce que vous ingurgitez en parallèle.

Source : Journal of the American Medical Association

Les poux, on les redoute chaque année car c'est bien souvent laborieux pour s'en débarrasser. En prévention, vous pouvez désormais suivre au jour le jour l'évolution des infestations en France. C'est l'entreprise Celtipharm, spécialisée dans la collecte et l'analyse de données de santé qui a mis au point ce nouvel indicateur. Il permet d'alerter les parents et de renforcer la surveillance pour lutter plus efficacement contre le parasite. Les données sont basées sur le suivi des achats en pharmacie d’un ensemble de produits indiqués contre les poux.

> Accéder à la carte

> De la lavande contre les poux

Râleuse, pleureuse, déprimée... Lorsque les femmes sont en début de cycle, leurs hormones n'en font qu'à leur tête. Les hommes qui doivent supporter ces sautes d'humeur aiment bien plaisanter ou se plaindre de la situation. Mais que feraient-ils, s'ils étaient à la place de leurs conjointes ? C'est la réponse à laquelle "OffKey World", un collectif anglais, a voulu répondre.

Les clichés féminins et masculins revisités

Dans une série de sketchs humoristiques, deux hommes censés avoir leurs règles passent en revue les clichés féminins en pleine menstruation. Par exemple, l'un fait une crise à sa conjointe qui n'a pas racheté de lait et l'autre ne veut pas sortir de sa chambre, n'y s'habiller. Des bouffées de chaleur jusqu'aux maux de tête en passant par la susceptibilité... Tout y passe ! Rassurez-vous mesdames, étant donné la façon très courageuse dont ils affrontent la situation, les hommes aussi en prennent pour leur grade.

Vidéo. "Et si les hommes avaient leurs règles?" :

L'infidélité est la première cause de divorce et à l'origine de 60% des séparations, rappelle le Dr Gérard Leleu, sexologue. Néanmoins, il souligne dans son livre Amours toujours ! que chez certains couples, elle peut faire plus de bien que de mal. Mais, comment ?

- L'infidèle retrouve le sourire : "L'infidèle heureux d'aimer ou d'être aimé est de bonne humeur. Il était bougon, voire hostile, il devient agréable, voire aimable" fait remarquer le spécialiste.

- L'infidèle a comparé : "L'infidèle ayant fait son tour à l'extérieur et ayant comparé, se dit que, tout compte fait, à la maison c'est mieux."

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- L'infidèle qui a découvert de nouvelles choses coquines : "L'infidèle rapatrie dans le couple officiel des gammes érotiques qu'il a découvertes à l'extérieur. Un  vent de voluptés nouvelles souffle sur le lit conjugal."

- L'infidèle de nouveau aimé : "Nous ne désirons rien tant que ce que nous risquons de perdre. Le conjoint trompé est pris d'un regain d'amour et de ddésir pour l'infidèle."

Source :Amours toujours !, Dr Gérard Leleu, Editions Quotidien Malin, Leduc.S, 2014.

En 1999, Irma écrivait très lisiblement son nom et son prénom. Dix ans plus tard, des lettres manquent. En 2014, la ligne est vide. Cette photo, publiée par l'école de médecine californienne UCSD a pour but de montrer l'évolution de la maladie d'Alzheimer. A l'origine de cette publication, l'équipe du Dr Michael Rafii travaillait sur un traitement expérimental de l'Ahzeimer. Pour cela, ils ont choisi, non pas des personnes atteintes de cette maladie neurologique, mais des sujets trisomiques.  "Les gens souffrant du syndrome de Down (autre nom de la trisomie, ndlr) représentent la plus grande population au monde de personnes prédisposées à développer la maladie d'Alzheimer" explique le Dr Rafii cité par le site npr. Il rappelle par ailleurs qu"à l'âge de 40 ans, 100% des personnes atteintes du syndrome ont la maladie d'Alzheimer dans le cerveau". Pour cause, le chromosome 21 supplémentaire qui témoigne de la trisomie participe au contrôle de la production d'amyloide, la fameuse susbtance qui forme des plaques caractéristiques de l'Alzheimer.

"Un traitement pour nous tous"

L'objectif des chercheurs est d'avancer sur la mise en place d'un traitement précoce de l'Alzheimer. "Trouver un médicament qui prévient l'Alzheimer chez les personnes souffrant du syndrome de Down pourrait aider des millions de gens qui n'ont pas encore la maladie, indique William Mobley, président du département de neurosciences à l'UCSD. Cette approche de traitement de la maladie pourrait s'appliquer à nous tous."

Vidéo. Plus on travaille, plus on repousse Alzheimer

Actuellement en tournage pour le clip Memory, aux côtés du groupe Il Divo, Hélène Ségara a fait quelques confidences sur sa santé, au magazine Télé Loisirs. Depuis un an, elle a dû se faire très discrète de la scène médiatique à cause d'une maladie auto-immune rare. "Je me suis occupée de moi, de mes projets et là je suis en train de réduire doucement mon traitement pour redevenir comme avant", a expliqué la chanteuse. Le traitement  dont elle parle la cortisone. Une substance qui a de nombreux effets indésirables quand elle est prise sur le long terme, comme c'est le cas pour elle. "Quinze mois de cortisone font de gros dégâts sur une femme" lâche-t-elle ainsi. Parmi ces effets, l'artiste avait souligné en octobre 2013, sur le plateau de l'émission Touche pas à mon poste que non, elle n'avait pas fait de chirurgie esthétique mais que son visage était "déformé par la cortisone". Une explication faite les larmes aux yeux pour faire taire les méchantes moqueries.

Heureusement, aujourd'hui, Hélène Ségara sait qu'elle peut toujours compter sur le soutien de ses fans pour avancer dans son combat : "Le public a une grande générosité, il sait comprendre le moment où on franchit la pudeur."

Le titre Memory fera partie de la nouvelle édition française de l'album A Musical Affair du quator Il Divo.

Pour Sigurd Vedal, PDG et fondateur du site de rencontres d'infidèlesVictoria Milan, si les femmes trompent leurs maris c'est parce qu'ils "ne leurs donnent simplement pas ce qu'elles recherchent au lit". Alors, de quoi s'agit-il ? D'après le sondage réalisé auprès de ses membres féminines, le site révèle que les cinq choses que les femmes vont chercher dans le lit de leur amant sont dans l'ordre :

- le sexe oral (29%)

- des préliminaires plus longs (25%)

- de nouvelles expériences pour les changer de la routine avec leur partenaire officiel (22%)

- un pénis de plus grande taille (15%)

- jouer avec des sex toys (9%)

Dans son livre Amour Toujours !, le Dr Gérard Leleu, sexologue, rappelle que contrairement à la pensée commune, l'infidélité n'est pas un apanage masculin puisque "les femmes ont autant de besoin érotiques" qu'eux. De plus, elles ne répriment plus leurs envies comme avant donc "n'acceptent plus d'être lésées par un homme expéditif ou ignare". En clair, elles n'hésitent plus à aller chercher ailleurs ce qu'elles ne peuvent avoir dans le lit conjugal.

Vidéo. Sexualité : suis-je normale ?

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On dit généralement que chaque grossesse est différente. Pour Kate Middleton, malheureusement, sa deuxième commence tout aussi difficilement que lorsqu'elle attendait le prince George. Dans un communiqué, le palais de Kensington a en effet annoncé qu'elle souffrait une nouvelle fois d'hyperemesis gravidarum et qu'elle était soignée par les médecins du palais. De quoi s'agit-il ? D'une pathologie relativement rare (moins de 2% de femmes enceintes seraient concernées) qui peut menacer la santé de la future mère et de son bébé. Elle se caractérise par des nausées et des vomissements sévères et persistants pouvant conduire à une déshydratation, à une perte de poids supérieure à 5 % et à des carences vitaminiques et minérales. D'où l'importance d'une prise en charge médicale rapide. Quand l'hospitalisation est nécessaire (ce qui n'est pas toujours le cas), la future maman est réhydratée et réalimentée par voie intraveineuse. Elle peut aussi recevoir un traitement médicamenteux en vue de stopper les vomissements et rentrer chez elle au bout de quelques jours.

A cause de ces désagréments, Kate Middleton ne peut plus accompagner le prince William dans tous ses déplacements. Ce serait en partie pour cela qu'ils ont dû annoncer cette nouvelle grossesse avant le délai des 12 semaines.

Vidéo. Grossesse : expulsion et délivrance

Pour être belle, la femme d'aujourd'hui ne doit surtout plus ressembler à ce qu'elle était il y a quelques années. Elle ne doit plus avoir de hanches larges, de petits seins ou encore une bouche trop fine. Ces diktats de la beauté sont dénoncés par le réalisateur Frédéric Doazan dans le film d'animation Supervénus, mis en ligne sur You Tube par la chaîne de télévision Arte. Il rappelle en images comment une femme est constituée sur le plan anatomique et comment elle a été transformée par les magazines et les publicités. Au fil du temps, chaque partie du corps a été revue et corrigée par la chirurgie esthétique. L'évolution est plus qu'étonnante. Images.

Vidéo : la femme d'hier et d'aujourd'hui par Frédéric Doazan

Le calcul de l'indice de masse corporelle sera-t-il bientôt "has been" ? Selon une étude réalisée par l'université de la City de Londres (Royaume-Uni), le bon indicateur pour savoir si on est bien proportionné et que ces proportions sont gages d'une bonne santé serait de mesurer le tour de taille et de le comparer à sa hauteur. Le résultat est normal quand il ne dépasse pas la moitié de la hauteur, en centimètres (exemple : si on mesure 180 cm, le tour de taille ne doit pas être supérieur à 90 cm). Pour bien le mesurer, les chercheurs expliquent qu'il faut placer le mètre entre entre la dernière côte et l'os de la hanche. Cette formule s'adapterait à tous, quel que soit l'âge, le sexe et l'ethnie.

Un indicateur de l'espérance de vie

Les scientifiques vont même plus loin en indiquant que le résultat de leur calcul jouerait sur l'espérance de vie. S'il est correct, la personne aurait une espérance de vie moyenne (environ 80 ans). S'il est au dessus, elle peut perdre 1 à 10 ans de vie selon l'écart entre le tour de taille et la hauteur. Pour le Dr Margaret Ashwell, auteur de l'étude, cet outil plus précis que l'IMC devrait être utilisé comme un bilan de santé simple que n'importe qui peut faire à la maison.

Certains y croient, d'autres pas du tout. Les scientifiques, eux, continuent d'étudier les effets de la lune sur la santé. La dernière recherche en date a été menée par l'Université de Toronto au Canada. Ses résultats montrent que les nuits de pleine lune, le temps pour s'endormir est deux fois plus long. Précisément, les femmes ayant participé aux recherches ont mis en moyenne 52 minutes pour trouver le sommeil contre 25 à 30 minutes quand ce n'était pas la pleine lune. Pour les hommes, les chiffres étaient respectivement de 60 minutes et 30 minutes.

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Mais, malgré les nombreuses recherches sur le sujet, les scientifiques ont du mal à expliquer de tels effets. Une hypothèse est émise sur un lien entre la façon dont la lune réfléchit la lumière du soleil et l'activité du cerveau. A suivre.

Source : Dailymail.

Dans une étude publiée dans le British Medical Journal (BMJ), des chercheurs de l'Inserm montrent que la prise de médicaments benzodiazépines* pour soigner des troubles du sommeil ou de l'anxiété peut être associée à un risque accru de développer la maladie d'Alzheimer, après 65 ans. Le risque, proportionnel à la durée d'exposition, a particulièrement été mis en évidence sur les traitements de trois mois ou plus (+51%).

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques français ont étudié la base de données de la Régie d’Assurance Maladie du Québec (RAMQ). Ils ont analysé le développement de la maladie d’Alzheimer chez un échantillon de patients âgés de plus de 66 ans résidant au Québec (Canada) et ayant eu une prescription de benzodiazépines. Au total, 1796 cas d'Alzheimer ont été identifiés sur au moins 6 ans. Ils ont comparé chacun de ces cas avec 7184 personnes en bonne santé dont l’âge, le sexe et la durée de suivi correspondaient. "La force de l’association augmente avec la durée de l’exposition et avec l’utilisation de benzodiazépines à longue durée d’action, par opposition aux benzodiazépines à courte durée d’action" explique Sophie Billioti de Gage, chercheur à l'Inserm.

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Pour les scientifiques, même si ce lien de cause à effet n'est pas prouvé, il est fortement suspecté. Ils estiment ainsi que la prise de ces médicaments doit faire l'objet de "prescriptions justifiées" et être "de courte durée". L'idéal serait de la limiter à "quelques semaines, une durée pour laquelle les chercheurs n'ont pas observé d'effets délétères sur le risque de démence" indique le chercheur.

En 2012, une autre étude de l'Inserm avait montré, sur une cohorte française, que les sujets consommant des benzodiazépines présentaient environ 50% plus de risque de développer une démence comparés à ceux qui n’en ont jamais consommé.

*Exemples de médicaments benzodiazépines : Alprazolam (Xanax® et génériques), Bromazépam (Lexomil® et génériques), Prazépam (Lysanxia® et génériques), Tétrazépam (Myolastan® et ses génériques).

Source : Benzodiazepine use and risk of Alzheimer’s disease: case-control study, Sophie Billioti de Gage PhD student1, Yola Moride professor2 3, Thierry Ducruet researcher2, Tobias,
Kurth director of research 4 5, Hélène Verdoux professor 1 6, Marie Tournier associate professor 1 6, Antoine Pariente associate professor 1, Bernard Bégaud professor 1. British Medical Journal (BMJ), 10 octobre 2014.

Vidéo. Comment optimiser son sommeil ?

Retiré du marché en France depuis 2011, les médicaments anti diabète à base de pioglitazone (Actos® et Competact®) ne seraient finalement pas responsables d'une augmentation du risque de cancer de la vessie, selon son fabricant, le laboratoire Takeda. Une étude menée pendant 10 ans par le Dr James D. Lewis (Université de Pennsylvanie, Etats-Unis) leur a permis d'apporter ces conclusions. Interrogé par le site Medscape, le médecin n'a pas souhaité faire de commentaires.

Les résultats vont maintenant être transmis à l'Agence américaine du médicament (Food and Drug Administration) et à l'Agence européenne du médicament (EMA) qui donneront ensuite leurs avis. En 2012, ces deux autorités avaient restreint les conditions d'utilisation du pioglitazone.

Pour rappel, Takeda et son partenaire commercial Lilly ont été condamnés en avril dernier à verser des amendes exceptionnelles de 6 et 3 millards de dollars pour avoir dissimulé les risques de cancer de la vessie. La publication de l'étude va peut-être changer la donne pour le fabricant.

Généralement sans gravité. Une étude portant sur la fréquence des évènements indésirables associés aux soins (EIAS) en médecine générale française fait état d'une erreur tous les deux jours en moyenne, par chaque praticien. Pour cette recherche (la première du genre en France), 160 médecins généralistes ont été interrogés. Sur 13 438 actes retenus (visites et consultations), il y a eu 401 EIAS (26 pour 1000) dont 344 évitables (22 pour 1000).

Quels sont ces "erreurs" ou EIAS" ?

Pour 77% des patients, l'EIAS n'a eu aucune conséquence clinique, pour 21% il y a eu une incapacité temportaire. Il pouvait s’agir : d’une infection urinaire liée à un retard de traitement, de malaises liés à un retard de prise en compte de résultats biologiques chez un diabétique ou d’un symptôme clinique lié à un événement indésirable médicamenteux. 2% des EIAS ont été des événements indésirables cliniquement graves qui pouvaient être associés à un décès (en établissement de santé : un patient de 87 ans insuffisant cardiaque a subi un retard de prise en charge, lié au délai pour obtenir un avis spécialisé, ce qui a entraîné une hospitalisation en urgence conduisant au décès), une menace vitale (4 cas) et une incapacité physique définitive (3 cas). Ces trois cas étaient : un patient diabétique de type 2 ayant présenté une aggravation de son insuffisance rénale suite à une prescription de metformine, un patient de 66 ans ayant été opéré d’un cancer de la prostate avec un retard diagnostique (résultat de PSA élevé négligé pendant plusieurs années) et une adolescente de 15 ans avec un retard diagnostique de troubles rachidiens. Ces trois  cas ont été considérés comme évitables.

Quelles sont les causes des erreurs ?

Sur les 344 EIAS évitables, 42% étaient en rapport avec des problèmes d’organisation du cabinet (défaut de disponibilité du MG, erreur d’enregistrement des dossiers, d’identification des patients ou de gestion de rendez-vous et messages), 21% étaient liés à des défauts d’organisation ou de communication entre professionnels et structures de santé et 20% à des
défauts de connaissances, de compétences ou de mobilisation de celles-ci par le MG (principalement en lien avec la gestion des traitements médicamenteux). 10% étaient en rapport avec une perte de temps attribuée au patient avant ou durant sa prise en charge et 3% à une évolution inhabituelle de la maladie qui a pris de court les soignants et les patients. Pour les 4% restants, il n’y a pas eu de défaut identifié.

Les auteurs de l'étude soulignent que ces résultats "sont proches de ceux d'études réalisées dans d'autres pays comme l'Australier et les Pays-Bas.

Pour votre entraînement sportif, vous privilégiez les vêtements en polyester car vous avez l’impression de moins transpirer ? Une étude publiée en août dernier dans le journal Applied and Environmental Microbiology dément cette idée reçue. Malgré la sensation "d’être au sec" pendant l’effort, les auteurs expliquent que les bactéries responsables de la mauvaise odeur de transpiration prolifèrent beaucoup plus sur les vêtements anti transpirants. Si la sueur n’a elle-même pas d’odeur, au contact prolongé d'un textile, elle peut devenir très désagréable ! 

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Pour aboutir à ces conclusions, l'équipe du chercheur Chris Callewaert, de la Ghent University (Belgique), a sélectionné 26 personnes saines, sans problèmes de peau ou de troubles médicaux. Les participants portaient des T-shirts en coton, en synthétique ou constitués des deux matières mélangées. Après une heure de cyclisme intensif, les T-shirts portés pendant la séance ont été séparés dans des sacs puis conservés à température ambiante, dans l’obscurité, pendant 28 heures.  

Un panel de sept autres personnes, choisies pour leur sensibilité aux odeurs, a ensuite senti les T-shirts. Le résultat montre que le vêtement en polyester dégage une odeur "plus aigre et plus forte" ont rapporté les chercheurs. Pensez-y pour vos futurs achats !